C’est un détail : Jean MÉDARD
Image d’actualité : l’effet papillon
C’est un détail : Bernard BRIANTAIS
Référence cinématographique : Le Cercle rouge
Le Cercle rouge est un film français écrit et réalisé par Jean-Pierre Melville, sorti en 1970. Avec Alain Delon, André Bourvil, Gian Maria Volonté, Yves Montand …
Collection : ZAK
Zakaria DOUGMANE
Collection : Alain TOUZEAU
Détail, avec en reflet dans la vitre du cadre, un wagon du train de Francis MARSHALL exposé dans le parc du musée Art et Déchirure…
C’est un détail : Caroline DAHYOT
Jusqu’à la fin du mois de septembre 2023, le musée Art et Déchirure présente une installation « immersive » de Caroline DAHYOT (dans l’ancienne salle d’accueil du pavillon). Élément remarquable de cette création : une boîte-scénette-amoureuse.
« Incarnation » : un mot-clé de l’univers de Caroline DAHYOT.
C’est un détail : Francis MARSHALL
Scène de pêche à la sirène cornue : tout comme pour Moïse, les erreurs de traduction sont possibles >> sirène couronnée, sirène rayonnante… Peut-être une illumination. Peut-être une hallucination. Peut-être un fantasme, une obsession, une image récurrente ? Qui le sait sinon le pêcheur ?
Alors qui n’a jamais péché lui jette la première pierre.
« Comme une fenêtre ouverte sur un monde »
Sur un mur de l’atelier du musée Art et Déchirure, là où la peinture s’est écaillée, se pressent des figures énigmatiques et silencieuses surgies du monde sombre du peintre Hubert DUPRILOT.
« Depuis la Renaissance et ses théories sur la perspective, la cause semble entendue : le tableau est comme une fenêtre ouverte sur le monde. D’un signe sur une paroi, ou de l’illustration de la parole divine à l’usage des analphabètes, l’image s’est transformée en un trou dans le mur donnant à voir un autre univers, dont l’homme serait le centre. »
Harry Bellet, « Quand l’art passe par la fenêtre », Le Monde, 28 avril 2013
Collection : Angélik BARRÉ
Notice du catalogue du Festival Art et Déchirure 2012 :
« Glauque », « joli », « surprenant », « bizarre », « particulier », « marrant », « surréaliste », « vulgaire », pas mal d’adjectifs ont été utilisés pour qualifier mon travail. Ils révèlent tout à fait ce que je cherche à montrer à travers mes toiles : une opposition entre un visuel « joli » et un texte « glauque ». Mes toiles jouent sur les mots, font du second degré, mélangent réalisme et illustrations, utilisent la couleur tout comme le noir et blanc, se composent dans un joyeux bordel organisé où tout s’entrecroise, se superpose, s’oppose de manière à ce que chacun y fasse son interprétation. Mon processus de travail est simple : j’observe, j’écoute; le quotidien m’inspire quelques mots que je griffonne sur mon calepin et après j’improvise à même la toile. Je travaille à l’intuition, je me laisse guider par mes pinceaux au grès de mon humeur. Pour ce qui est de la technique, tout est peint et j’y tiens! Pour les visages réalistes je redessine des photos trouvées ici et là : des inconnus, des amis, la famille et si je ne trouve pas l’expression ou l’angle qui me convient je prends mon miroir et fait mes grimaces…, pour les illustrations, pas de modèles, juste un miroir pour les expressions et quelques mise en situation pour les postures. Autant vous dire que mes toiles sont très personnelles, vous y rencontrerez ma grand- mère, mon neveu, le fils d’une amie, moi… et vous y lirez une partie de mon quotidien. Mais ne vous attendez pas lire en moi comme dans une toile accrochée; l’ambiguïté, les différents niveaux de lecture et les sous-entendus restent mes maîtres-mots. Petite mes crayons ont été mon moyen d’expression favori pour me faire comprendre, pour me défouler, pour évacuer, devenue adulte rien n’a changé.